Vous pensez mondial ? Agissez E-Export !

Vous pensez mondial ? Agissez E-Export ! Il n’y a rien entre les deux. L’E-Export est personnalisé ou il ne l’est pas : c’est du moins ma devise lorsqu’il s’agit d’aider les entreprises dans leur croissance internationale grâce à l’E-export ! Si vous me suivez, vous aurez remarqué que mon approche est multicanal ! Il combine le meilleur des techniques d’exportation traditionnelles avec des outils numériques de pointe pour dynamiser les ventes mondiales. Ce que vous n’avez peut-être pas remarqué, c’est comment je m’y prends… Et c’est le sujet du jour ! Je révèle les étapes clés que je prends pour aider mes clients à se développer à l’échelle mondiale, une approche que j’adapte à chaque client car chaque entreprise est unique. Annonce spéciale : mon nouveau livre « Digital E-Export : E-Commerce, Marketplaces, SEO, SEA, Social Selling et E-Marketing for B2B & B2C » sort bientôt. Restez à l’écoute de sa sortie afin que vous puissiez être le premier à plonger dans le monde des stratégies d’exportation numérique ! Alors, concrètement, voici les éléments essentiels de ma démarche ! Étude de marché approfondie​ Tout d’abord, je commence par une analyse approfondie du pays cible spécifique, basée sur des données clés provenant d’organisations leaders du secteur, connues pour leur expertise dans le domaine. Une étude aussi approfondie est la pierre angulaire sur laquelle je construis la stratégie d’exportation électronique dont nos clients ont besoin pour réussir sur les marchés étrangers compétitifs. Dans le paysage en constante évolution des marchés internationaux, le succès repose sur la capacité de chacun à comprendre, à s’adapter et à prospérer. Grâce à notre approche multicanal consistant à rechercher en profondeur les nuances du pays cible, nos clients se lancent dans un voyage visant à débloquer des informations uniques sur le comportement des consommateurs et les tendances émergentes dans la région d’exportation de leur choix. Cette analyse répond à un double objectif : non seulement elle réduit les risques, mais elle confère également aux entreprises le pouvoir de prendre les bonnes décisions en sélectionnant les canaux les plus efficaces pour leurs ventes internationales. Benchmark international personnalisé Après avoir réalisé l’analyse de marché, j’établis un benchmark exclusif sur mesure, qui évalue les forces, les faiblesses et bien d’autres facteurs. Ce benchmark constitue un atout dynamique pour la gestion d’une entreprise, offrant une vision complète de son potentiel par rapport à ses concurrents. Avec ces données cruciales en main, les entreprises peuvent naviguer en toute sécurité dans les choix stratégiques nécessaires pour se différencier sur les marchés étrangers. Aussi, ce benchmark permettra d’optimiser les ressources et d’élaborer des plans d’action efficaces, tout en favorisant la croissance de l’entreprise à l’étranger et en renforçant sa présence sur le marché. Votre stratégie de marque tout-en-un Une fois le benchmark établi et notre évaluation terminée, il est temps de décider de la stratégie de marque. Cela implique de façonner l’identité de la marque, de définir les clients idéaux – le persona – et de façonner l’approche narrative et éditoriale dans la langue du pays cible. Nous utiliserons la transcréation pour garantir que tous les contenus sont adaptés au pays où l’entreprise opère. En adaptant l’image de marque au marché local, en comprenant les besoins et les préférences du public cible et en créant un contenu qui résonne avec leurs comportements et leurs traditions, j’aide mes clients à créer de véritables liens avec leurs clients et prospects. Cette approche immersive leur permet de s’intégrer dans la culture locale, de renforcer la confiance des consommateurs dans leur marque et de renforcer leur influence sur les marchés internationaux cibles. Optimisation des moteurs de recherche multilingues (SEO) Dans le paysage numérique actuel, il est impensable pour une marque de fonctionner sans un site Web optimisé. Pour améliorer la visibilité d’une entreprise sur les moteurs de recherche dans la destination d’exportation sélectionnée et garantir qu’elle capitalise sur toutes les opportunités disponibles, nous proposons un référencement multilingue spécialisé. Cette optimisation améliorera l’expérience utilisateur, la rendant plus pertinente et adaptée au public international. Avec une présence en ligne aussi forte, le site Web attirera naturellement un trafic de meilleure qualité et améliorera considérablement le taux de conversion des clients potentiels. Gestion et analyse des performances Enfin et surtout, c’est la gestion de projet et l’analyse des performances qui font vraiment la différence ! Cette combinaison dynamique forme une suite holistique de services conçus pour faciliter la croissance d’une entreprise sur la scène mondiale. L’équipe ToWebOrNotToWeb et moi sommes ici pour superviser l’ensemble de l’exécution du projet. Notre engagement? Offrir une gestion efficace pour chaque aspect d’un projet E-Export, depuis l’étude de marché initiale et la planification stratégique jusqu’à la mise en œuvre, le suivi et la coordination. Tous nos efforts visent à garantir les meilleurs résultats internationaux pour nos clients. Mais il y a plus ! En plus de la surveillance continue et de l’analyse des performances, conçues pour fournir des informations en temps réel une fois le projet en cours, nous proposons également une formation aux outils d’analyse. Cette formation permet à nos clients de suivre de manière indépendante leurs performances, leur permettant ainsi de contrôler la progression de leur entreprise. L’essentiel : ce que tout cela signifie… La synergie créée par tous ces services forme une approche puissante qui garantit la croissance à long terme d’une entreprise exportatrice. Et cela donne indéniablement des résultats tangibles ! Avec une décennie d’expérience et un nombre égal d’années d’application de cette approche, l’ équipe ToWebOrNotToWeb et moi-même avons aidé de nombreuses entreprises dans le monde entier à lancer leurs ventes d’exportation électronique numérique à partir de zéro. Cela inclut des organisations de renom comme MasterCard, la BERD, Somfy, mais aussi des PME comme Little Balance, Benson Shoes, Partner’s, et bien d’autres ! La connaissance, c’est le pouvoir : restez à l’écoute ! Ne manquez pas la sortie prochaine de mon nouveau livre, « Digital E-Export : E-Commerce, Marketplaces, SEO, SEA, Social Selling, and E-Marketing for B2B & B2C ». Dans ce livre, je partage les dernières techniques et informations stratégiques pour vous aider à

Digital transformation of export manager

La transformation numérique, une évolution indispensable à l’ère post-pandémique !

La transformation numérique, une évolution indispensable à l’ère post-pandémique ! La transformation numérique est le processus d’intégration de la technologie et des informations numériques à un modèle commercial ou organisationnel traditionnel afin de créer un nouveau modèle commercial combiné. À cause du COVID-19, les consommateurs se sont tournés vers le Web et les entreprises y ont bien réagi ! Pendant la pandémie de COVID-19, les consommateurs se sont considérablement tournés vers les canaux en ligne, et les entreprises et les industries y ont bien réagi. L’évolution de l’industrie des produits physiques vers le numérique (transformation numérique) est motivée par la demande des consommateurs, ainsi que par les nombreux autres avantages qui en découlent.   Il y a eu un état de panique qui a contraint les entreprises et les institutions à modifier leurs projets d’avenir. En raison de ce changement radical, l’avenir des entreprises a changé à jamais. Toutes les institutions doivent désormais avoir une présence numérique pour être pertinentes dans le monde moderne. Il crée de meilleures expériences client en utilisant de nouvelles technologies qui permettent aux clients d’interagir avec les marques quand et où ils le souhaitent. L’une des principales transformations numériques que nous constatons une augmentation est le commerce électronique . Les petites et moyennes entreprises peuvent être plus dépendantes des entreprises de commerce électronique en raison des faibles coûts de démarrage et de la facilité d’utilisation de ces canaux numériques. Il est précieux pour la croissance de l’entreprise grâce à sa capacité à se connecter avec davantage de clients, à gérer les informations en temps opportun et à réduire le processus opérationnel.   Le taux de croissance du commerce électronique a largement dépassé celui des détaillants traditionnels. Lorsque le commerce électronique a été introduit pour la première fois, il s’agissait d’un service utile, mais il était loin d’avoir la taille qu’il a aujourd’hui. Il s’est développé si rapidement en raison des avantages qu’il offre aux consommateurs ainsi que de la facilité d’achat en ligne. L’expansion du commerce électronique présente de nombreux avantages différents pour les commerçants. Par exemple, les vitrines en ligne ressemblent désormais beaucoup aux vitrines traditionnelles. Cela est dû aux progrès technologiques qui peuvent permettre à la vitrine en ligne d’une entreprise de fonctionner de la même manière que les vitrines physiques et, dans certains cas, même plus efficacement. Ces nouvelles technologies ont créé de nouvelles façons multicanales permettant aux consommateurs de faire leurs achats, plus pratiques et plus faciles pour eux.   DERNIÈRES PENSÉES ! Bien entendu, les petites et moyennes entreprises pourraient bénéficier de la transformation numérique de nombreuses autres manières différentes, et il est important pour elles de suivre les tendances du comportement des consommateurs. Cependant, de nombreux propriétaires de PME peinent à utiliser efficacement les technologies numériques. La transformation numérique a créé de nombreuses opportunités et constitue l’avenir des entreprises. Les PME doivent comprendre ces opportunités afin de pouvoir utiliser efficacement la transformation numérique. Les PME ont simplement besoin de comprendre ces opportunités afin de pouvoir les prioriser et les utiliser efficacement comme moyen d’augmenter leurs ventes, la satisfaction de leurs clients et leur compétitivité. Êtes-vous prêt pour une transformation numérique et une internationalisation de votre entreprise ? Contactez-nous pour en savoir plus sur la façon dont nous pouvons vous aider à développer votre entreprise. Vous vous demandez comment l’E-Export peut aider votre entreprise à se développer à l’international ? Contactez-nous pour une consultation téléphonique gratuite de 20 minutes. Envoyez un e-mail à contact@towebornottoweb.com avec pour objet ‘Consultation téléphonique de 20 minutes’ pour la planifier dès aujourd’hui ! Vous vous demandez comment l’E-Export peut aider votre entreprise à se développer à l’international ? Contactez-nous pour une consultation téléphonique gratuite de 20 minutes. Envoyez un e-mail à contact@towebornottoweb.com avec pour objet ‘Consultation téléphonique de 20 minutes’ pour la planifier dès aujourd’hui ! Si vous souhaitez en savoir plus, contactez-nous ! Cliquez ici

Le digital pour un commerce international plus écoresponsable

Le digital pour un commerce international plus écoresponsable Introduction : quelques coups de pieds aux idées reçues… Le commerce international et l’export ont toujours été des moteurs essentiels de la croissance économique des pays, mais ils ont également été liés à des problèmes environnementaux croissants. Lors de l’Université d’Été de l’Internationalisation des Entreprises (UEIE 2023) organisée par l’OSCI la semaine dernière à Marseille, j’ai assisté à l’intervention de Carine Kraus, Directrice Engagement du Groupe Carrefour. Si le groupe a pris des dispositions afin de rendre son activité plus écoresponsable – notamment via une plus forte anticipation, l’adoption d’emballages recyclables et un engagement climat – force est de constater que les émissions carbones directes engendrées par les magasins physiques et les émissions indirectes provoquées par les produits commercialisés restent élevées pour le groupe. Si nous prenons ce cas de figure, on se rend compte que le retail reste polluant malgré les efforts et la bonne volonté des entreprises. Mais ce n’est pas tout ! Si l’on se penche sur le secteur de la construction, on s’aperçoit que ce dernier représente plus de 30% des émissions carbone, comme le précise Marie Godard-Pithon, Directrice Performances et Investissements du Groupe Vicat qui était également présente à l’UEIE 2023. Le groupe, qui opère dans l’industrie du béton dans 12 pays, affirme qu’investir dans la décarbonation est maintenant nécessaire pour tous les acteurs du secteur, au sein duquel la majorité des émissions sont dues au transport. Si ces derniers proposent désormais des produits décarbonisés, la demande reste encore trop faible, ce qui représente un paradoxe face à l’importance croissante de la question climatique dans ce domaine au niveau global. De plus, le groupe se heurte à un mur financier dressé par la disparition imminente du quota gratuit, et l’obligation prochaine pour les entreprises de payer des taxes liées à leurs émissions de Co2, à moins d’être capables de les compenser ou recycler correctement. De même, on désigne souvent les transports aériens comme étant parmi les plus grands pollueurs, nous incitant ainsi à limiter nos déplacements en avion. Or, ces derniers ne représentent en réalité que 2% des émissions carbones… Et si la solution était tout simplement d’arrêter l’export ? Selon Arnaud Montebourg, qui a animé l’une des plénières de l’UEIE 2023, il faudrait fragmenter le commerce international par pays ou par région plutôt que d’opter pour l’export à grande échelle. Si l’idée mérite réflexion, Jean-Marie Paugam, Directeur Général Adjoint de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), qui était aussi présent à l’événement, émet une objection. En effet, dans un monde où la propriété intellectuelle et la R&D ont une importance croissante, la fragmentation ne permettrait pas le partage d’innovations qui pourraient être bénéfiques à l’échelle mondiale. Au contraire, il faudrait réinventer, par exemple, la voiture électrique dans chaque pays où région, ce qui coûterait bien plus cher. Autre objection de M. Paugam : l’argument économique. La fragmentation du commerce international ne permettrait pas d’atteindre les volumes nécessaires à l’amortissement des investissements pour le développement de nouveaux produits, ni de réaliser des économies d’échelle, produisant ainsi une augmentation considérable du coût de la vie en général.   La transition écologique du commerce international passe par le digital ! Il y a deux aspects à prendre en compte pour expliquer cette affirmation : la contribution du numérique à la chaîne de valeur du commerce international et son impact sur les émissions carbones. En ce qui concerne le premier aspect, le digital a révolutionné plusieurs éléments du commerce international :   ✅ La Supply Chain, avec notamment les places de marché B2B en ligne, où les entreprises peuvent identifier et négocier avec des fournisseurs du monde entier tout en exploitant la blockchain pour garantir la traçabilité et la sécurité des transactions. ✅ La fabrication des produits, grâce à la robotique ou encore à l’intelligence artificielle (IA) qui ont créé des usines « intelligentes », améliorant la productivité et les conditions de travail dans le monde entier. ✅ La logistique et la distribution, à travers les solutions IoT et GPS qui permettent d’optimiser les itinéraires, les stocks, l’entreposage et le suivi des expéditions en temps réel tout au long de la livraison. ✅ Les opérations douanières avec, par exemple, les systèmes cloud, l’EDI et la numérisation des documents qui simplifient et accélèrent les procédures transfrontalières. ✅ La vente, avec évidemment l’arrivée du commerce électronique et des marketplaces. Ces derniers sont des canaux de vente additionnels pour les entreprises, qui peuvent atteindre directement les acheteurs mondiaux en diminuant le nombre d’intermédiaires, en réduisant les coûts et en améliorant les relations avec les clients, qui sont désormais plus rapprochées. ✅ Le marketing, notamment via les médias sociaux, les publicités en ligne, l’emailing, les outils Analytics ou encore le CRM, qui permettent d’analyser les tendances et de segmenter la clientèle de façon plus ciblée. En résulte l’amélioration de la performance des offres et de la vente à l’international. ✅ Le service client grâce aux chatbots, à l’IA, ou encore aux plateformes d’aide en libre-service qui sont en mesure de fournir une assistance multilingue en temps réel et sur différents fuseaux horaires. On peut également évoquer les outils pour les diagnostics à distance, la maintenance prédictive et les capteurs IoT, qui facilitent la surveillance des produits en minimisant les temps d’arrêt et en améliorant la satisfaction des clients.   Concernant le second aspect, un constat s’impose : le numérique n’est pas écoresponsable et le numérique pour l’export non plus. Comme Ludovic Subran, Chef Économiste chez Allianz qui était aussi présent à l’événement, l’a évoqué, les émissions carbones engendrées par le digital sont 3 fois supérieures à celles générées par les transports aériens. En cause, les émissions dues à l’électricité nécessaire au maintien des différents systèmes, qui tendent à s’intensifier avec le développement des cryptomonnaies et de l’IA demandeuses en énergie, mais aussi les matériaux utilisés pour fabriquer les appareils informatiques ou mobiles. La pollution engendrée par ces appareils, leur transport, les magasins de distribution ainsi que par leurs cycles de vie réduits seraient aussi la cause de ce niveau élevé d’émissions carbone. Malgré cela, une étude menée par Allianz sur le sujet souligne

“Made In France”, le début de la fin…

Le “Made In France” perd sa place dans le top 5 des appellations d’origine les plus prisées Lors du salon Made In France 2023 qui se déroulait à Paris la semaine dernière, nous avons eu l’occasion  de mener un sondage auprès de 200 entreprises françaises sur leur activité à l’export. Une révélation criante a émergé de nos recherches : 87,1% de ces entreprises ne sont pas actives à l’export, ou exportent très peu. Ces chiffres sont préoccupants pour la portée internationale du savoir-faire français, surtout lorsqu’on sait que, selon le Nation Brands Index 2023 d’Anholt-Ipsos, la France aurait perdu trois places dans le classement des marquages d’origines les plus prisés dans le monde, passant ainsi de la 5ᵉ à la 8ᵉ place en seulement un an ! Comment expliquer un tel déclin ? Si les investissements du gouvernement dans le “Made In France” ces dernières années sont importants, et font désormais gage de qualité à l’échelle locale, ils n’ont pourtant pas suffi à garder la place du “Made In France” dans le Top 5 des appellations d’origine les plus prisées à l’échelle internationale. Cela peut s’expliquer par la différence de stratégie adoptée par rapport aux autres pays afin de valoriser leurs appellations d’origine nationale. Mais alors, quelles actions ont été menées par ces gouvernements afin que les appellations telles que “Made In USA”, ou encore “Made In Germany” dépassent aujourd’hui le “Made In France”. L’impact de l’Inflation Reduction Act sur le “Made In USA” Prenons le cas des États-Unis. Ce pays a promulgué le 16 août 2022 l’Inflation Reduction Act (IRA, en français “Loi pour la réduction de l’inflation), dont l’une des mesures phare est d’allouer un budget de plusieurs centaines de milliards de dollars aux politiques industrielles vertes américaines. Si cette loi n’a, à première vue, aucun rapport avec le “Made In USA” et sa compétitivité, l’IRA se base en réalité sur trois axes fondamentaux qui pourraient avoir impacté significativement le poids de l’appellation d’origine :   La promotion de l’achat local, c’est-à-dire d’acheter américain, ce qui sous-tend à des aides et mesures fiscales, selon le média “Les Echos“, dont des crédits d’impôts accordés aux consommateurs pour l’achat de véhicules neufs américains. Les allègements fiscaux pour les entreprises produisant directement sur le sol américain, selon la source officielle gouvernementale française “Vie Publique”, favorisant encore plus le “Made In USA”.Les subventions à la production, pour les entrepreneurs américains et étrangers décidant de produire aux États-Unis. Ces mesures, si elles renforcent le poids de l’appellation d’origine “Made In USA”, dérangent les entreprises européennes, qui voient leurs productions désavantagées aux États-Unis par rapport aux produits américains. Pour reprendre l’exemple cité par “Les Echos”, une voiture Tesla sera favorisée sur le sol américain par rapport à une Peugeot française, ce qui desservirait le “Made In France” aux États-Unis.   Enfin, les mesures prises par ce pays en faveur de la production industrielle valorisant l’écoresponsabilité sont alignées avec les enjeux actuels, et renforcent la réputation internationale de leader des États-Unis en termes de Recherche et Développement (R&D). Par conséquent, leurs productions sont vues comme plus attractives à l’échelle mondiale. Cela se prouve d’ailleurs par la remontée des États-Unis dans le classement Nation Brands Index 2023 publié par Anholt-Ipsos. Le “Made in Germany”, toujours très prisé par les clients internationaux Ce n’est un secret pour personne, l’industrie allemande est mondialement reconnue pour ses productions industrielles de qualité, notamment dans le secteur automobile qui a fait la renommée du pays. Si le monde s’inquiétait il y a peu de l’état de l’économie allemande, craignant qu’il devienne “l’homme malade de l’Union Européenne”, le “Made In Germany” n’en reste pas moins prisé et reste dans le Top 2 du Nation Brands Index 2023. Et pour cause, l’Allemagne a elle aussi décidé de promulguer la “Loi sur le renforcement des opportunités de croissance”, qui englobe l’investissement et l’innovation, ainsi que la simplification et l’équité fiscale – probablement en riposte à l’IRA américaine à laquelle l’Union européenne dans son ensemble entend riposter dans un avenir proche.     Selon le Ministère Fédéral des Affaires Étrangères Allemand, cette nouvelle loi vise à renforcer la compétitivité allemande, et donc le “Made In Germany”, en mettant les productions climatiquement neutres au centre de leurs préoccupations. La loi prévoit également une prime à l’investissement afin d’inciter les entrepreneurs du monde entier à investir et à fabriquer en Allemagne. Elle vise aussi à pousser les entreprises à investir dans des technologies plus respectueuses de l’environnement et plus efficaces énergétiquement, ainsi que dans la R&D alignée aux enjeux cruciaux du réchauffement climatique.Ainsi, nous tenons probablement l’explication d’une telle compétitivité du “Made In Germany” qui avec de tels investissements pourrait se maintenir en tête du classement Nation Brands Index pour plusieurs années encore, du fait de son engagement pour l’innovation et l’écoresponsabilité qui sont gages de qualité pour les clients internationaux.   Ainsi, nous tenons probablement l’explication d’une telle compétitivité du “Made In Germany” qui avec de tels investissements pourrait se maintenir en tête du classement Nation Brands Index pour plusieurs années encore, du fait de son engagement pour l’innovation et l’écoresponsabilité qui sont gages de qualité pour les clients internationaux. « Made In France », les raisons du déclin face aux autres nations Afin d’illustrer notre propos, et avant d’attaquer le cœur de notre développement, voici un graphique montrant l’évolution du poids international de l’appellation “Made In France” par rapport au “Made In USA » entre 2019 et 2023. Sur ce graphique, nous voyons l’évolution du poids international de l’appellation “Made In France” ces quatre dernières années. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les résultats donnés par Anholt-Ipsos sont frappants : de la seconde position du classement, le “Made In France” est passé à la 8ᵉ en quatre ans. Plus encore, le “Made In France” a perdu 3 places dans ce classement à l’échelle internationale entre 2022 et 2023, soit en seulement un an là où le “Made In USA”, qui a longtemps été en bas du Top 10, est finalement parvenu à dépasser la France cette année en se plaçant 6ème

Chèque Relance Export

ToWebOrNotToWeb opérateur agréé Chèque Relance Export

ToWebOrNotToWeb opérateur agréé Chèque Relance Export Pour aider les entreprises françaises à se lancer ou à se développer à l’international, une aide publique nationale pour les PME et ETI françaises a été créée : le Chèque Relance Export. Cette aide vise à apporter un soutien financier aux PME-ETI dans leurs démarches à l’export. De quoi s’agit-il ? Le Chèque Relance Export, CRE, est une aide financière de l’Etat qui vise à accompagner les entreprises exportatrices et celles qui souhaitent le devenir. Qui peut en bénéficier ? Toutes les PME et ETI françaises ! Quels sont les montants et les prestations concernées ? Le CRE concerne des prestations d’accompagnement à l’international, y compris digitalisées. Les montants de l’aide couvrent 50% du projet export. Ils peuvent aller jusqu’à 2 000€ et être répétés jusqu’à six fois pour des prestations d’accompagnement individuel : audit et diagnostic export, stratégie multicanale à l’international, prospection digitale, communication, etc., le tout avec ToWebOrNotToWeb ! Quelle est la date limite ? Les entreprises doivent transmettre leur dossier avant le 15 décembre 2022. Quelle est la démarche à suivre ? Recevoir le devis ToWebOrNotToWeb pour votre projet export selon les prestations éligibles. Se rendre sur le site www.teamfrance-export.fr dans la rubrique « Trouver des aides et financements/Financements publics ». Télécharger et remplir le formulaire d’éligibilité. Le renvoyer avec les pièces justificatives demandées avant la date de réalisation de la prestation à la Team France Export et avant le 15/12/2022. Attendre la réponse par e-mail sous 5 jours ouvrés. Dans un délai maximum de 45 jours suivant l’exécution de la prestation, l’entreprise doit transmettre son dossier complet pour recevoir le versement de son Chèque Relance Export.   ToWebOrNotToWeb peut vous accompagner dans toutes ces étapes afin d’obtenir votre ou vos Chèque.s Relance Eexport !   Si vous souhaitez en savoir plus, contactez-nous ! Cliquez ici

Activateur France Num

France Num & ToWebOrNotToWeb

Activateur France Num, c’est quoi ? Le réseau « Activateur France Num » est une initiative gouvernementale pour la transformation numérique des TPE/PME pilotée par la Direction générale des entreprises. Construite avec plusieurs partenaires dont Régions de France, l’ensemble des Régions et certaines organisations professionnelles, France Num est une organisation qui agit pour favoriser l’adoption et le renforcement de l’utilisation du numérique par les dirigeants des petites entreprises. Son programme d’actions s’appuie sur les recommandations du Conseil national du numérique et sur l’étude 2020 de la DGE sur les besoins et les pratiques numériques des TPE/PME. France Num avec son réseau de partenaires et activateurs fédère des actions qui vont de la sensibilisation jusqu’au passage à l’action. Activateur France Num : mobilisé dans un réseau d’experts du numérique sur toute la France Sélectionner un prestataire de confiance pour passer au numérique est souvent une étape complexe pour les PMEs. C’est pourquoi France Num a mis en place un système de mise en relation entre TPE/PME et des experts numériques vérifiés. Cela a permis de créer le réseau des Activateurs France Num dont ToWebOrNotToWeb fait partie ! Experts numériques : réseau des Activateurs France Num Experts numériques : engagements des Activateurs France Num Animation des partenaires engagés auprès des TPE/PME Au-delà du réseau « Activateur France Num », plusieurs acteurs institutionnels volontaires sont réunit pour aider les TPE/PME à passer au numérique et qui sont animés directement par la Direction générale des entreprises. Les partenaires France Num Etude des besoins numériques des TPE/PME Grâce à cette étude réalisée en 2020, les TPE/PME ont été regroupées selon leurs pratiques et besoins numériques afin d’adapter les dispositifs proposés par la Direction générale des entreprises et par tous les autres partenaires et activateurs du réseau France Num. Ce baromètre mesure chaque année l’évolution de l’équipement numérique des TPE / PME et des enjeux perçus. Baromètre France Num Si vous souhaitez en savoir plus, contactez-nous ! Cliquez ici

LES PIRES ERREURS À ÉVITER DANS LES VENTES NUMÉRIQUES À L’EXPORTATION !

LES PIRES ERREURS À ÉVITER DANS LES VENTES NUMÉRIQUES À L’EXPORTATION ! Vous envisagez de devenir un responsable des exportations numériques ou envisagez de lancer votre entreprise à l’échelle mondiale ? La main-d’œuvre mondiale subit un changement technologique massif que beaucoup appellent la quatrième révolution industrielle . Ce virage a également transformé le métier des Export Managers, qui doivent désormais utiliser des outils différents. Pour suivre ce développement de nouvelles compétences techniques pour votre activité export, vous devez bien connaître les enjeux du numérique. C’est le seul moyen d’éviter des erreurs qui, à long terme, s’avéreront très coûteuses. Questions qui peuvent se poser à vous en tant que responsable de l’exportation numérique Les questions les plus courantes qui peuvent vous venir à l’esprit lorsque vous pensez à l’exportation numérique sont :   1. Tout d’abord, quels sont les outils numériques disponibles dans le monde des affaires actuel et comment s’orienter avec eux pour générer des ventes intelligentes à l’exportation ? 2. Deuxièmement, comment formuler une stratégie Web internationale efficace ? 3. Alors, comment établir une connexion fluide au-delà des frontières et attirer des clients de manière organique à l’étranger ? 4. Comment créer et gérer des annonces à l’étranger ? 5. Comment mettre en place et gérer le e-commerce transfrontalier, qu’il soit B2B ou B2C ? 6. Alors, comment développer une marque internationale forte en utilisant les médias sociaux et le social Selling ? 7. Enfin, quelles sont toutes les solutions viables permettant à un Digital Export Manager d’automatiser efficacement toutes ces tâches numériques dans différents pays et différents canaux ?   COMMENT TROUVER LES RÉPONSES À CES QUESTIONS ?  Difficile de trouver les réponses à toutes ces questions sur Internet. Internet va vous renvoyer à des ressources théoriques et pratiques provenant de différentes organisations, ce qui peut prendre beaucoup de temps et être frustrant. Après avoir mené des recherches approfondies et mis à profit mon expérience pragmatique et profondément enracinée dans ces domaines, j’ai décidé de prendre le parti audacieux de publier une série où vous trouverez tous les moyens possibles et outils pratiques pour devenir un exportateur numérique. La série Digital Exporter : sept étapes pour devenir un bon gestionnaire d’exportation numérique ! Les livres de la série Digital Exporter présentent les étapes audacieuses pour devenir un responsable de l’exportation numérique et lancer une entreprise à l’échelle mondiale : 1. Commencer le voyage numérique mondial : comment créer la meilleure stratégie Web internationale 2. Attirer des clients à l’étranger de manière organique : comment configurer un référencement local, international et mondial 3. Attirer des clients à l’étranger grâce à la publicité : SEA, SMA et autres canaux d’acquisition 4. Vendre en ligne à l’international : comment configurer et gérer un commerce électronique transfrontalier 5. Vendre en ligne à l’international : comment vendre sur les marchés locaux et internationaux 6. Développer une marque internationale forte : médias sociaux multilingues et vente sociale 7. Développer une marque internationale forte : marketing entrant multilingue et automatisation du marketing   La série Digital Exporter vous proposera sept livres et plus de 100 études de cas. Il enrichira vos compétences avec les meilleures pratiques, les outils, les solutions concrètes et les explications étape par étape sur la façon de vendre en ligne au-delà des canaux et des frontières.       Vous vous demandez comment l’E-Export peut aider votre entreprise à se développer à l’international ? Contactez-nous pour une consultation téléphonique gratuite de 20 minutes. Envoyez un e-mail à contact@towebornottoweb.com avec pour objet ‘Consultation téléphonique de 20 minutes’ pour la planifier dès aujourd’hui !   Si vous souhaitez en savoir plus, contactez-nous ! Cliquez ici

Amazon vs Alibaba

Désolé, Amazon, mais cela ne fonctionne pas ainsi en Chine

Désolé, Amazon, mais cela ne fonctionne pas ainsi en Chine Concurrencé par Alibaba et JD.com, le géant américain a fermé sa marketplace amazon.cn en 2019. Face à la concurrence locale, Jeff Bezos n’est qu’un entrepreneur parmi d’autres, ayant fait l’expérience que la toute-puissance de certaines entreprises occidentales pouvait être vaine en Chine.   Ce n’est que depuis quelques années que l’on commence à parler de la rivalité entre les BATX (Baidu, Alibaba, Tencent, Xiaomi ou désormais plutôt Huawei) et les GAFAM. Néanmoins, peu de ces géants occidentaux ont réussi leur implantation sur le marché de l’empire du Milieu. Si le marché chinois présente un gros potentiel pour les entreprises occidentales, il est temps de se demander s’il existe des pièges à éviter sur ce territoire. Se lancer en Chine ? Avec vigilance, mais sans prendre de retard pour autant ! Amazon est arrivé bien après les deux grands acteurs locaux, Alibaba et JD.com. Ces derniers ont lancé leurs marketplaces respectives en 2003 et 2004. Au moment où les deux plateformes chinoises ont consolidé leur propre communauté, Amazon venait seulement de mettre le pied sur le territoire chinois en 2004. Amazon a, en vue d’un démarrage rapide, acheté pour 75 millions de dollars le site chinois Joyo.com, qui a été pourtant vite éclipsé par ses concurrents locaux. Et cela lui a pris jusqu’à 2011 pour enfin pouvoir renommer le site en Amazon China. Dans un pays au rythme de croissance TGV, la rapidité compte ! Le développement du e-commerce et des marketplaces a également boosté l’évolution des systèmes logistiques en Chine. Les enseignes chinoises ont très rapidement développé des réseaux efficaces, que ce soit avec des partenaires externes ou avec des solutions développées en interne. Alors qu’Alibaba et JD.com s’engagent à livrer leurs commandes en express, même aux adresses les plus isolées de Chine, Amazon n’a évidemment pas réussi à relever ce défi. La plupart des livraisons sont gratuites sur Taobao d’Alibaba. JD.com avec ses plus de 700 entrepôts partout en Chine offre la livraison en moins de 24 heures pour les villes et en 48 heures maximum pour les régions reculées. Amazon, en revanche, imposait des commandes d’un minimum de 200 yuans (26,5 €), pour pouvoir bénéficier simplement de la livraison gratuite standard. Conscient de son service de livraison peu efficace et plus cher comparé à la concurrence, Amazon a pris en 2015 la décision d’ouvrir une boutique en ligne sur Tmall, l’une des marketplaces d’Alibaba. En effet, comme Alibaba bloque l’indexation de toutes ses pages sur Baidu (le Google chinois) pour encourager les consommateurs à utiliser son propre moteur de recherche, cette décision était quasi contrainte. Elle a probablement nui à son image, mais avec le bloc de Google en Chine, Amazon n’avait pas d’autres options pour acquérir du trafic sur sa plateforme. Alibaba peut-il vraiment tuer Amazon ? Pour réussir à l’international, il faut s’adapter aux mœurs locales ou avoir les moyens de s’imposer au niveau global, comme Airbnb ou Coca-Cola ! Un modèle économique qui réussit aux États-Unis ou en Europe ne marche pas forcément en Chine. De même, un modèle économique qui fonctionne en Chine ne marche pas forcément en Europe ou aux États-Unis ! Alibaba, bien qu’ayant les mêmes moyens d’Airbnb ou Coca-Cola, peut-il vraiment tuer Amazon, simplement en déployant son modèle économique tel quel ? Si vous souhaitez en savoir plus, contactez-nous ! Cliquez ici

digital farming, here I am

L’agriculture numérique, allons-y !

L’agriculture numérique, allons-y! Le plan de relance post-Covid de l’UE pour le secteur agroalimentaire comprend une partie clé dédiée à la digitalisation. L’idée principale de ce projet est «De la ferme à la fourchette», une stratégie par laquelle l’UE aidera tous les acteurs de la chaîne alimentaire à déployer des solutions digitales pour préserver leur activité et renforcer la durabilité, pendant la pandémie mais également au-delà. Cela devrait se faire par le biais de la Politique Agricole Commune et du financement d’Horizon Europe, qui permettraient la transformation en agriculture numérique. L’opportunité de la révolution numérique dans le secteur agricole Ce plan de relance de l’UE est considéré comme une opportunité pour la révolution numérique dans le secteur agricole, et l’agriculture numérique est déjà en plein essor en raison de la crise de Covid-19. Et même si cette tendance devrait se poursuivre à l’issue du confinement, le rythme de l’évolution numérique et la mentalité des agriculteurs diffèrent considérablement d’un pays européen à l’autre La France, l’Allemagne et l’Italie sont les plus grands pays dans ce secteur, mais ils ont affiché des niveaux de numérisation très différents. Dans une étude récente portant sur plus de 550 micro-agriculteurs dans ces trois pays, nous avons observé qu’en Allemagne, 90% d’entre eux ont un site e-commerce pour vendre leurs produits directement aux consommateurs au niveau régional ou national, dont la moitié peut même vendre à travers des frontières. En France, ce chiffre baisse à 40% et en Italie à 20%, mais les producteurs italiens déploient massivement des systèmes de transaction en ligne depuis le début de la pandémie pour proposer à leurs clients des solutions d’achat sans contact. À ce rythme, l’Italie atteindra bientôt le niveau de la digitalisation agroalimentaire en France et ira probablement même au-delà. La France va-t-elle accélérer le rythme ? Peut-être. Les agriculteurs français ayant majoritairement recours à des coopératives et autres organisations pour la distribution de leurs produits, ils perçoivent moins d’urgence pour fournir des solutions sans contact aux consommateurs, ce qui pourrait ralentir le rythme de leur transformation digitale. La bonne combinaison pour développer l’agriculture numérique du futur Mais ce n’est pas un problème. Ce type de digitalisation est très particulier : le secteur agricole est basé sur des ressources naturelles qui ne peuvent pas être contrôlées à 100% par le numérique. Des vaches ont besoin d’être nourries. Des pommes doivent être cueillies. Les blés doivent être récoltées, etc. Même si le numérique peut participer à n’importe quelle chaîne de valeur agricole, il ne peut pas être laissé à la gestion en toute autonomie. La surveillance humaine doit toujours être là pour s’assurer que la chaîne ne s’arrête pas. La pandémie a montré les vertus de l’agriculture numérique et en particulier la capacité des agriculteurs de toute taille à se connecter davantage pour fournir des solutions à distance pour la distribution de leurs produits. Plus que jamais, la digitalisation de l’agroalimentaire doit d’une part offrir un développement régulier de l’accès aux canaux numériques à toutes les exploitations au-delà des frontières, et d’autre part, s’adapter aux différences de l’économie locale et de l’infrastructure de chaque pays. Combiner l’expertise de la chaîne de valeur locale avec la technologie digitale sera d’une grande aide pour construire le système agroalimentaire du futur. Si vous souhaitez en savoir plus, contactez-nous ! Cliquez ici

Digital resilience to overcome the COVID-19 business crisis

La résilience numérique pour surmonter la crise du COVID-19

La résilience numérique pour surmonter la crise du COVID-19 Les virus ne connaissent pas de frontières et les effets du coronavirus sur les entreprises continueront de se propager dans le monde entier. Que vous soyez une startup ou une marque établie, il ne fait aucun doute que cette pandémie mondiale vous oblige à refondre votre écosystème numérique du fait que les activités traditionnelles ont cessé : les magasins sont fermés, les salons sont reportés ou annulés, les voyages pour rencontrer des clients ne sont pas possibles, les missions professionnelles, forums et conférences ne sont pas non plus autorisés, et tout cela jusqu’à nouvel ordre. Si votre entreprise travaille habituellement avec ces types d’activités traditionnelles, elle doit maintenant trouver vite des solutions pour les transformer en activités en ligne. Cependant, compte tenu de la confusion autour du web et du marketing numérique, le risque que vous investissiez dans des actions en ligne qui ne visent pas les mêmes objectifs commerciaux est très élevé. L’exemple de comment le Web peut remplacer les salons Pourquoi les entreprises participent-elles à des salons ?   Elles le font pour rencontrer de nouveaux distributeurs, revendeurs ou encore des acheteurs potentiels. Bref, elles prospectent.   C’est donc ce que devraient également viser les actions en ligne. Pour y parvenir, la prospection numérique via des campagnes de génération de leads qualifiés, des prospects, est la meilleure chose à faire. Cette prospection numérique touche les personnes qui sont le plus intéressées par rapport à ce que vous voulez vendre, ce qui correspond à l’objectif d’une participation à un salon.   Cependant, les PME ne font pas souvent la différence entre ces campagnes de génération de leads et d’autres projets de web-marketing, comme, par exemple, les campagnes qui visent à renforcer la notoriété d’une marque. Ces dernières consistent à publier sur des blogs et réseaux sociaux, par exemple, pour faire connaître sa marque, ce qui est différent de l’objectif de participer à des salons. Comment prospecter avec une campagne de génération de leads? L’une des premières choses à faire est d’utiliser une landing page adaptée au marché que vous souhaitez atteindre. Là encore, les PME ont du mal à comprendre ce qu’est une landing page et pourquoi elles devraient en utiliser une au lieu de leur site Web. L’utilisation du site Web est une erreur fréquente et produit de mauvais résultats : le contenu d’un site Web est moins direct que le contenu d’une page de destination, et il distrait les internautes, qui quittent le site sans obtenir ce qu’ils voulaient.   Promotion de landing pageUne fois que la landing page est prête, vous avez besoin que des prospects qualifiés y atterrissent et, pour cela, une campagne sur LinkedIn ou Google peut être très efficace, à condition que vos mots clés soient cohérents avec les personnes à atteindre et avec votre landing page. Il faut quelques jours pour lancer et exécuter une opération comme celle-ci au sein de votre marché ou à l’international.   Il s’agit d’une solution relativement simple et bon marché qui permet de garder un esprit ouvert pour créer de nouvelles opportunités commerciales sans avoir à se déplacer à un salon. Le numérique vous aide à être plus résilient ! Le digital peut vous aider à être plus résilient en ces temps difficiles, et même après si les activités traditionnelles ne sont plus possibles. Il faut cependant comprendre en priorité dans quelles actions en ligne investir. Pour vous aider, j’ai publié un livre qui explique comment utiliser les outils numériques pour démarrer et développer votre activité en ligne dans votre pays ou à l’international. Si vous souhaitez en savoir plus, contactez-nous ! Cliquez ici